Travail d’intérêt général, bracelet électronique, amendes ou restrictions de droits… le projet de décret d’application de la loi sur les peines alternatives est désormais en place. Une réforme saluée par le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas comme un jalon majeur des droits humains au Maroc.
Répondant aux questions des journalistes lors du point de presse tenu ce jeudi 22 mai 2025 à l’issue de la réunion du Conseil de gouvernement, Baitas a affirmé que la loi n°43.22 relative aux peines alternatives représente « une avancée majeure et courageuse de la part de ce gouvernement. C’est une initiative entreprise par notre pays dans le cadre d’un processus amorcé sous la conduite de Sa Majesté le Roi et qui vise à ancrer la culture et la pratique des droits de l’Homme dans notre société« .