L’étau judiciaire s’est brutalement resserré lundi sur l’ex-président brésilien d’extrême droite Jair Bolsonaro, assigné à résidence avant même l’issue de son procès pour tentative présumée de coup d’État, où il encourt plus de 40 ans de prison.
Sanctionné pour avoir bravé une interdiction de s’exprimer sur les réseaux sociaux, l’ancien chef d’État (2019-2022), déjà inéligible jusqu’en 2030, se retrouve entravé comme jamais.