Une récente étude interne menée par Meta révèle que les adolescents qui déclarent ressentir régulièrement un malaise par rapport à leur corps après avoir utilisé Instagram sont beaucoup plus exposés à du contenu lié aux troubles alimentaires que ceux qui ne présentent pas ces sentiments. Selon le document, ces publications comprenaient des images mettant en avant certaines parties du corps (poitrine, fesses, cuisses), des jugements explicites sur les morphologies et du contenu portant sur les troubles alimentaires ou l’image corporelle négative.
Bien que ce type de contenu ne soit pas interdit par Instagram, des parents, adolescents et experts externes ont alerté Meta sur ses effets potentiellement dangereux pour les jeunes utilisateurs.



